Je ne sais pas si vous connaissez les BD de Bill Watterson, Calvin et Hobbes. Je les ai découvertes lorsque j’étais en Fac de sciences, en pleine révisions après une partie de Jeu de Rôle, dans l’appartement d’un ami. Je suis tombé sur ces bouquins blancs cartonnés au graphisme simplissime en noir et blanc qui racontent les aventures de Calvin, gamin de six ans et de sa peluche, Hobbes le tigre, son inséparable compagnon et ami imaginaire.
J’ai tout de suite adoré cette BD et je me souviens avoir lu tous les tomes chez mon ami dans la journée. Je n’en ai pourtant que deux ou trois à la maison et je les relis trop peu souvent.
Mon petit dernier m’a offert pour mes cinquante sept ans, l’intégrale 1 de Calvin et Hobbes aux éditions Hors Collection. J’ai l’impression qu’il entretient mes pires travers entre Camelot saison 3 à Noël et Calvin et Hobbes à mon anniversaire.
Lorsque j’étais jeune, Calvin et Hobbes c’était drôle mais parfois mystérieux.
Aujourd’hui que je suis père de deux enfants presque adultes, c’est juste à mourir de rire. Car toutes les aventures racontées dans ces planches, je les ai partagées enfant et puis adulte avec mes deux bambins. Plutôt que de pratiquer la stérilisation chimique, lisez Calvin et Hobbes, une BD qui vous passe l’envie de devenir jeune parent.