L’espoir fait vivre (Dans mon iPhone n°23)

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« Tout vient à point à qui sait attendre ». En janvier 2016, Gens de la Lune enregistrait en live le DVD de Epitaphe et peu de temps après Francis se lançait à corps perdu dans un projet qui n’aboutira pas vraiment, … Continuer la lecture

Des choix, toujours des choix (dans mon iPhone n°22)

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Cette semaine, j’ai réceptionné en quelques heures trois albums, le second Alco Frisbass, commandé en vinyle, The Gift (si si, il est arrivé) et Anubis qui traverse les océans en ce moment. Pendant ce temps j’écoutais Art Of Illusion dont … Continuer la lecture

La pochette la plus moche (dans mon iPhone n°21)

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Des fois, les groupes manquent de goût. Pour preuve ces cinq premières pochettes alors que les cinq suivantes sont magnifiques. Celle de Frayle a déchaîné (si je puis dire) les passions à la rédaction, Laurent et François se sont lâchés. … Continuer la lecture

Dans mon iPhone n°20

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Un peu de ménage et de nombreuses chroniques plus tard, mon iPhone se retrouve légèrement moins encombré que d’ordinaire. Les deux semaines à ponts m’ont laissées de temps pour écouter de nombreux albums et même de m’offrir le luxe de … Continuer la lecture

La reprise (Dans mon iPhone n°19)

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Oui c’est la reprise après une semaine de ‘vacances’. Des vacances au travail mais une pause dans les publications du webzine et du blog histoire de souffler un peu. Des ‘vacances’ pendant lesquelles j’ai écouté de très nombreux albums, les … Continuer la lecture

Faites place (Dans mon iPhone n°14)

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Il fallait faire de la place dans mon iPhone, d’autant que de nouveaux albums arrivaient cette semaine, des choix cruels. Dans les nouveautés vous trouverez anasazi, Burntfield, The Dame et Tryo, autant dire des univers musicaux très différents. Je suis … Continuer la lecture

Tsunami (Dans mon iPhone n°14)

Raz de marée généralement engendré par un mouvement brutal du fond de la mer au cours d’un séisme; désastre marin dans lequel une vague soudaine, énorme et dévastatrice est provoquée par une action sismique (tremblement de terre, éruption volcanique ou énorme glissement de terrain), un cyclone, voire des armes nucléaires, particulièrement dans le Pacifique.

(Source Futura Science)

Une semaine de congés ne m’aura pas franchement permis de dépiler les albums de mon iPhone. En passant pas l’Occase de l’Oncle Tom pour me délester de DVDs et CDs – grande opération ménage de printemps –  j’ai trouvé le moyen de repartir avec deux albums de Riverside… oui je sais. J’ai tout de même écouté la plupart des albums présents aujourd’hui dans mon iPhone de bout en bout, sans me décider à faire un tri qui deviendra bientôt indispensable, faute de place.

Je suis toujours dans une phase metal, et après les chroniques de Ayreon, Whyzdom, The Mars Chronicles, j’attaque celle de Seyminhol, du metal progressif symphonique français.

La poste ne m’a apporté aucune merveille depuis une semaine, je suis donc malheureux. Bien évidement The Gift n’est pas encore sorti, encore moins le fameux DVD de Gens de la Lune, et les prochains arrivages se situent en mai/juin, l’occasion de me concentrer sur les promotions pour une fois.

Sinon, grande nouvelle, le placo de la salle de bain est terminé.

The last day of june

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The Raven That Refused To Sing compte parmi mes albums favoris de Steven Wilson. Le seul vrai album progressif de l’artiste pour lequel il avait sorti en 2013 le très beau clip, Drive Home.

Régulièrement, je m’égosille, je postillonne, je m’énerve, lorsqu’un artiste se disperse, transformant musique et jeu vidéo par exemple comme voulait le faire Dream Theater avec son The Astonishing. Je critique, je râle, je peste mais je suis faible… Il y a peu, sur la Switch est sorti le jeu The last day of june, inspiré du clip Drive Home. Et j’ai craqué. Comme quoi Wilson c’est vendeur.

Un homme qui a perdu sa femme dans un accident de voiture va revivre avec vous cette après-midi fatale, rejouant les événements, tentant de modifier le passé par l’entremise de quatre personnes de son village, l’enfant qui s’ennuie, la femme qui déménage, le chausseur poursuivant la pie et le mystérieux vieil homme au cadeau. Il faudra jouer et rejouer leurs après-midi, changer le passé, afin d’essayer d’éviter le drame. Un jeu de très courte durée, vendu trop cher, fait de cinématiques et énigmes, visuellement bien en dessous du clip de ‘Drive Home’, avec comme musique de fond, des extraits instrumentaux des morceaux de Wilson et pourtant assez addictif.

Clairement, il ne s’agit pas d’un produit pour gamer avec ses actions limitées, sa durée de vie courte et son côté répétitif. C’est un jeu poétique et beau qui nous raconte une histoire d’amour et de sacrifice.

Le Saint Graal

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Par les Dieux des Sept Enfers ! Le Saint Graal des adorateurs du néo-progressif est sorti en vinyle. La merveille des merveilles, l’accomplissement d’une vie d’artiste, un album que j’ai découvert par hasard, alors que je ne connaissais même pas le groupe… Je crois que c’est en passant à la Fnac – à l’époque ils avaient encore du choix et bon goût – que je tombais sur une pochette intrigante, un homme en costume noir, chevauchant un bicycle rudge sur fond ciel tourmenté. The Visitor du groupe Arena.

L’écoute du premier morceaux me convainc de me jeter sur la merveille. Clive Nolan au sommet de son art, Paul Wrightson, une voix et une présence extraordinaire, un petit jeune guitariste qui ira loin, John Mitchell, l’ancien bassiste de IQ, John Jowitt et le premier batteur de Marillion, Mick Pointer, allaient donner naissance au chef d’oeuvre du néo-progressif, un album qui aujourd’hui encore fait référence et que le groupe a eu la belle idée de remastériser et de rééditer en vinyle.

Juste après la sortie du CD, le groupe se produisait à la Laiterie à Strasbourg, ville dans laquelle je venais à peine d’emménager. Une salle comble, une audience que le groupe ne retrouvera plus jamais j’en ai peur, un concert extraordinaire au début duquel, Paul remontait la foule avec son micro pour grimper sur scène, quel frisson, quelle prestance !

Une édition vinyle 180 grammes, deux CDs dont un disque bonus avec des versions acoustiques et live, un poster dédicacé par les cinq musiciens, les fans de cet album vont adorer.

Arena n’a jamais fait mieux que cet album hélas et ne le fera sans doute jamais plus.

Voila, je pense que j’ai basculé du côté obscur des #VCN (vieux cons nostalgiques), cette secte affligeante des #CMA (c’était mieux avant), ces aigris plein de tunes qui n’écoutent que les groupes de plus de vingt ans d’age sous prétexte que les jeunes sont des petits cons qui ne savent pas jouer du rock et qui mettent de l’électro partout. Une espèce en voie d’augmentation comme la moyenne d’age des amateurs de prog. Pourtant je les déteste ces djihadistes de la musique, qui se tueraient pour une bouse de Yes ou un inédit inaudible de Pink Floyd et qui ne sont pas foutus d’écouter une nouveauté.

Après la réédition de Picture de Kino en vinyle, la réédition de The Visitor de Arena en vile, voici qu’arrive le coffret vinyle de Brave de Marillion, cinq galettes anthracites, la version remix de Steven Wilson et le live à la Cigale. Je me vautre dans la fange de la nostalgie et surtout je m’offre des éditions qu’à l’époque je n’osais même pas imaginer en rêve. Et je suis bien puni, car sincèrement, le master du Marillion n’est pas terrible, sans parler du pressage assez médiocre.

Étrangement, Picture et Brave ne furent pas forcément des coups de cœur à leur sortie, mais au fil des années, à force d’écoutes, ils sont devenus les albums que j’emmenerais forcément sur une île déserte avec un bon millier d’autres.

Le cas de Brave relève de la psychiatrie, j’ai compté. Il existe, à la maison, cinq éditions différentes de cet album, le CD studio, le Making of Brave, le Brave life, le film Brave, et ce coffret vinyle. N’est-ce pas trop docteur ?

Promis, pour ne pas sombrer totalement dans le #VCM et le #CMA, je commanderai prochainement plein de nouveauté, j’ai commencé ce weekend par le vinyle Negative Toe de Camembert, c’est bien non ?

ps : ce billet, aussi inutile que les autres, sert principalement à référencer sur Google des chroniques postées sur le site Neoprog.eu, augmentant l’e réputation du webzine à petit prix.