Lorsque je roule sur l’autoroute en arrivant à Strasbourg, je passe souvent devant ce cabanon perdu au milieu des champs et chaque fois je songe à trouver le chemin qui y conduit pour prendre une photographie. Un dimanche matin neigeux, en partance pour une promenade dans les Vosges, j’ai fait un petit détour pour trouver le chemin menant au cabanon.Je vous propose cette semaine trois déclinaisons du cabanon.
J’ai également appelé cette photo L’été en hiver. Alors que je séchais des réglages pour cette photographie, j’ai poussé le curseur de la balance des blancs complètement à droite et le résultat, certes totalement artificiel, limite psychédélique m’a plu. Alors j’ai conservé le tirage.
Nikon Z8, Nikkor Z 24-200mm, 1/500s, f/6.3, ISO 72, 200 mm
Lorsque je roule sur l’autoroute en arrivant à Strasbourg, je passe souvent devant ce cabanon perdu au milieu des champs et chaque fois je songe à trouver le chemin qui y conduit pour prendre une photographie. Un dimanche matin neigeux, en partance pour une promenade dans les Vosges, j’ai fait un petit détour pour trouver le chemin menant au cabanon.Je vous propose cette semaine trois déclinaisons du cabanon.
Cette seconde composition en plan large est en couleur. Malgré les apparences, je ne manquais pas de luminosité et la matinée n’était pas si brumeuse. Je voulais juste créer une ambiance différente sur cette image.
Nikon Z8, Nikkor Z 24-200mm, 1/500s, f/11, ISO 64, 60 mm
Lorsque je roule sur l’autoroute en arrivant à Strasbourg, je passe souvent devant ce cabanon perdu au milieu des champs et chaque fois je songe à trouver le chemin qui y conduit pour prendre une photographie. Un dimanche matin neigeux, en partance pour une promenade dans les Vosges, j’ai fait un petit détour pour trouver le chemin menant au cabanon.Je vous propose cette semaine trois déclinaisons du cabanon.
Bien entendu, la première version se devait d’être en noir et blanc. Hélas mon monochrome très contrasté ne se prêtait pas à l’exercice alors j’ai opté pour le sépia, un traitement vintage que je n’utilise pas souvent.
Nikon Z8, Nikkor Z 24-200 mm, 1/250s, f/11, ISO 64, 180 mm
Au programme cette semaine, trois photographies de rue. J’aime beaucoup me promener en ville avec mon appareil pour capturer des scènes de la vie ordinaire. L’exercice est toujours délicat car les gens n’apprécient pas toujours d’être pointé par un objectif et encore moins de retrouver leur portrait sur les réseaux sociaux sans être prévenus. Mes photos de rues sont en noir et blanc comme la majorité de mes clichés. Chacune des photos de cette série met en scène un ou deux personnages dans un décors qui m’inspirait.
Le sujet initial de de cette photographie était la ruelle avec les colonnes en arrière plan. Mais alors que j’effectuais quelques réglages, cette dame est apparue dans mon viseur et j’ai shooté. La photo a été faite avec mon Lumix GX9 que je viens juste de revendre, un petit boitier hybride de 20 MP de très bonne facture qui tient presque dans la poche à l’ergonomie assez douteuse par contre et que je n’utilisais plus beaucoup.
Lumix Panasonic GX9, Vario G 12-32 mm, 1/100s, f/5.6, ISO 200, 32 mm.
En quelques jours je me suis vu créditer dans deux albums de rock progressif coup sur coup, celui de Plus 33 et celui de Melanie Mau & Martin Schnella.
D’accord, il ne s’agit pas de groupes de prog mainstream comme Marillion ou Ayreon.
Soyons clair, je n’ai pas fait payer mes services, j’ai juste envoyé les photographies aux artistes, n’empêche, cela fait plaisir d’apparaître dans le livret, même avec une erreur sur l’orthographe du nom.
Ce n’est pas la première fois que cela se produit, cela doit être la troisième ou quatrième fois, des albums distribués à quelques centaines d’exemplaires chacun, en auto production, mais qu’importe, cela veut dire qu’ils apprécient un peu mes clichés contrairement à d’autres ou qu’ils n’avaient rien pour illustrer leur musique (oui c’est possible également).
Pour Plus 33, le groupe avait organisé un shooting qui m’a appris beaucoup sur ce travail. Après, ce n’était que ma seconde expérience de ce genre après avoir réalisé quelques images pour un atelier de musique de chambre. Pour Melanie et Martin, il s’agit d’une photo de concert prise pendant leur dernière tournée acoustique, si je me souviens bien. Je leur avais envoyé les photos pour qu’ils les utilisent librement. Je ne pensais pas la voir un jour dans le livret de leur dernier CD de reprises.
Bien entendu, un de mes rêves, serait d’en faire mon métier. Photographe pour les groupes, la classe, mais comme tout travail mérite rétribution et que mes ‘clients’ restent des formations à petite audience, il est fort probable que mon carnet de commande resterait vide et que les fins de mois seraient très difficiles, surtout lorsque l’on considère l’investissement nécessaire pour ce travail. Et serait-ce encore un plaisir ?
Je vais me contenter d’un pass presse par ci par là, d’être occasionnellement contacté pour un shooting amateur et de retrouver mon nom parfois crédité dans un album. C’est déjà pas si mal pour un amateur même si certains diront que je tue le marché.
Au programme cette semaine, trois photographies de rue. J’aime beaucoup me promener en ville avec mon appareil pour capturer des scènes de la vie ordinaire. L’exercice est toujours délicat car les gens n’apprécient pas toujours d’être pointé par un objectif et encore moins de retrouver leur portrait sur les réseaux sociaux sans être prévenus. Mes photos de rues sont en noir et blanc comme la majorité de mes clichés. Chacune des photos de cette série met en scène un ou deux personnages dans un décors qui m’inspirait.
On commence par un dessinateur, assis au bord du bassin d’Austerlitz à Strasbourg. La photographie initiale possédait un champ plus large pour englober les immeubles en arrière plan mais j’ai ramené l’image à un format carré pour la recentrer sur le sujet. En ouvrant à 2.8 je voulais me focaliser sur l’homme assis mais comme je n’ai pas eu le courage de m’approcher de peur de me faire remarquer, la profondeur de champ reste assez marquée. Du coup, c’est un peu raté.
Nikon Z6 II, Nikkor Z 24-70 mm 2.8s, 1/1000s, f/2.8, ISO 100, 70 mm.
Cette semaine je vous propose une série de paysages en noir et blanc réalisés à différents endroits du globe. Le point commun de ces trois panoramiques, outre le traitement noir et blanc et l’absence de personnage, est de ne pas respecter de format académique. Aucun n’est au 4×3, 16×9 ou 4×6. Tous les trois sont des cadrages libres issus d’un format 4×6.
Voici le Vésuve en plein jour, toujours sur la plage de Castellamare di Sabia où je me promenais chaque matin et au coucher du soleil. Une plage sale, très sale, très très sale, où les italiens font leur jogging. C’est le sujet que j’ai voulu évoquer ici avec ce bidon et casier au premier plan alors que le majestueux Vésuve se dresse à l’horizon. Le ciel chaotique renforce l’aspect dramatique de ce paysage qui aurait pu être magnifique. J’ai utilisé un cadrage assez large avec encore une fois l’horizon au tiers pour rester un tant soit peu académique.
Nikon Z8, Nikkor Z 24-200mm, 1/125s, f/11, ISO 140, 24 mm
Cette semaine je vous propose une série de paysages en noir et blanc réalisés à différents endroits du globe. Le point commun de ces trois panoramiques, outre le traitement noir et blanc et l’absence de personnage, est de ne pas respecter de format académique. Aucun n’est au 4×3, 16×9 ou 4×6. Tous les trois sont des cadrages libres issus d’un format 4×6.
Ce second paysage est pris le soir sur la plage de Castellammare di Sabia près de Naples. Le format se rapproche d’un 16×9 avec l’horizon ramené au premier tiers de l’image et le voilier au centre. La lune devrait briller dans le ciel pour produire cette lumière dans les nuages et les reflets sur la mer. Le plus difficile fut d’obtenir la lumière du phare allumé au bout de la pointe. Les conditions étaient assez sportives : une focale à 200 mm pour que le sujet soit de taille raisonnable, une grande profondeur de champ pour que les vagues soient bien marquées comme l’horizon net et 1/30s à main levée pour éviter de monter trop dans les ISO.
Nikon Z6 II, Nikkor Z 24-200mm, 1/30s, f/11, ISO 1250, 200 mm
Je ne vais pas vous parler du mariage ni des différentes crises que rencontrent les couples dans la vie. Je laisse ça à votre thérapeute ou conseiller conjugal.
Je vous vous raconter mon premier concert en tant photographe d’une harmonie, ces orchestres à vent qui attirent un public de 70 à 90 ans.
J’y suis allé pour rendre service à l’association qui désirait des images du concert mais aussi afin de m’entraîner à cet exercice que je n’ai pas pratiqué depuis plusieurs mois et surtout, soyons honnête, parce que j’adore me la pêter avec mon matos dans une salle.
Parce que la musique d’harmonie, ça n’est vraiment pas ma came, voire pas du tout ma came, je suis trop jeune pour cela, j’écoute encore du métal. Bref…
L’après-midi était en deux parties – Après-midi car les petits vieux se couchent tôt alors cela commence à 15h -, une première harmonie rejouant des classiques du cinéma, entrecoupée de sketches, la seconde harmonie, celle d’Arenheim interprétant des classiques des années soixante.
Equipé principalement d’un 70-200 mm je vais pendant trois heures arpenter les estrades et la scène pour sortir trois cent cinquante photographies dont 90% partiront à la corbeille.
Techniquement l’exercice est nettement plus simple qu’un concert de rock. Les lumières ne sont guère changeantes, les musiciens assis. Le défi consiste à faire de belles images du chef en pleine action, à capturer quelques portraits avec les instruments et réaliser quelques clichés d’ensemble.
Lorsque je passais derrière les rideaux pour photographier l’orchestre de très près, les musiciens ne me voyaient pas forcément tout de suite, mais de temps en temps l’un deux me remarquait et me lançait un clin d’oeil ou un sourire. J’ai trouvé cette complicité avec les musiciens, techniciens et le chef assez amusante, j’espère qu’ils aimeront les photos.
J’en ai profité bien entendu pour écouter la musique et regarder les sketches. Et j’avoue que la première partie de spectacle m’a agréablement surprise. Je connaissais les musiques jouées comme Spiderman, Princesse Mononoke. Chaque petit sketche – deux alsaciennes en voyage près du Poke Nord pour un festival du film fantastique – servaient d’introduction au morceau suivant.
Par contre, les versions sixties harmonisées aux cuivres de la seconde partie était à la frontière de ce que mes tympans peuvent endurer. Désolé pour Arenheim. Su votre club photo fait des étincelles, votre harmonie fait de la bouillie. Et puis moi, je suis encore trop jeune pour l’EPHAD.
Cette semaine je vous propose une série de paysages en noir et blanc réalisés à différents endroits du globe. Le point commun de ces trois panoramiques, outre le traitement noir et blanc et l’absence de personnage, est de ne pas respecter de format académique. Aucun n’est au 4×3, 16×9 ou 4×6. Tous les trois sont des cadrages libres issus d’un format 4×6.
La première photo est celle d’un orage cet été, le 24 août, en plaine d’Alsace. L’orage est lointain et au milieu de la photographie la foudre touche le sol. C’était la première fois que je réussissait des photographies d’éclairs. Le format est un large panoramique composé d’une unique image cadrée façon CinémaScope pour ne montrer que ce qui présentait un intérêt à mes yeux.
Nikon Z8, Nikkor Z 24-70mm 2.8, 5.0s, f/5.6, ISO 560, 24 mm.