Chroniques en Images existe maintenant depuis mai 2020. Au menu chaque lundi, une vidéo accompagnée d’un article dans le blog.
Sept jours d’écoute, une heure de rédaction, quinze minutes de tournage (les bons jours) et une autre heure de montage puis la publication pour de dix à sept cent vues en fonction du sujet. Voilà pour les chiffres.
Bon, en moyenne c’est plutôt une vingtaine de vues par vidéo, autant dire rien du tout, sorti du dernier Marillion, de Arena, Pendragon et quelques autres chroniques. La tendance est tout de même légèrement à la hausse depuis la chronique d’Arena, mais pour combien de temps ?
Je reçois encore quelques solicitations médias que je refuse poliment, car depuis le début, à quelques rares exceptions près, je ne parle plus que des albums que j’ai acheté. Évidemment je loupe beaucoup de sorties mais je me fais avant tout plaisir, sans pression et sans stress. Pour le stress j’ai le travail.
Je n’envisage pas de changer de formule ni de rythme en 2023. Ma routine me convient. Je travaille toujours un peu sur l’amélioration des éclairages et du son, je regarde un nouveau logiciel de montage sans avoir encore franchi le pas. Reste à prendre des leçons de communication.
Croyez-le ou non, je suis très à l’aise devant un public, même en vidéo conférence, mais coincé devant l’objectif de la caméra avec mon script, je passe en mode robot avec un balais enfoncé dans le fondement. Aïe…
J’achète un peu moins de vinyles, toujours autant de CD et j’ai nettement augmenté ma collection d’albums numériques, principalement sur Bandcamp. En fait je pense que depuis que j’ai arrêté Neoprog, j’achète plus de musique, même si j’en écoute beaucoup moins.
J’ai conscience que le public de Chroniques En Images est très progueux mais je vais continuer d’écouter du métal et à en parler parce que j’aime la musique qui poutre, le folk, le classique et le prog. Même que des fois j’écoute de la pop.
Pour finir ce bilan je tiens à remercier Stéphane Gallay que je plagie honteusement depuis des mois ainsi que les quelques personnes qui regardent ces vidéos et les rares fanatiques qui commentent et mettent des j’aime.
Passez de bonnes fêtes de fin d’année !
L’imitation est la forme la plus sincère de la flatterie, dit-on.
Oui, OK, c’est en soi un plagiat d’une citation d’Oscar Wilde nettement moins flatteuse en elle-même.
Mais bon, ça me fait plaisir de ne pas être le seul. Et puis tu te « repaies » en me signalant à ton tour des albums sympas.
Moi flatteur ? Maître… Si votre ramage se rapporte à votre plumage 😉
On est pas seuls, on est plein. Il y a le prog-head, le métallos, le junky, le baba cool, le hardos, le déglingos, tout ça dans une même caboche, ça fait plein de monde.