Voici quelques jours que je n’avais pas étalé la musique que j’écoute sur la toile. Ca vous a fait des vacances j’espère ? Vous bronziez sur la plage, j’étalais du plâtre sur les murs, chacun sa crème après tout. J’étais en vacances certes, mais je n’ai pas chômé. Un concert de Steven Wilson, une sortie au parc animalier de Sainte Croix, quatre livres dévorés sur le canapé du salon en écoutant de vieux albums, plusieurs couches de plâtre déposées sur les murs, quelques balades, une nouvelle série TV et de nombreuses chroniques que vous pourrez lire prochainement.
Des vacances normales en attendant les prochaines en Sardaigne, loin de mon PC, d’Internet, de ma chaîne, du vidéo projecteur et de mes deux ados zombis. Des chroniques oui, mais principalement des chroniques plaisir, c’est à dire des albums que j’avais envie d’écouter, plus pour le plaisir que pour le travail, certains que je connaissais déjà très bien comme le nouvel Arstidir, Fleesh ou The Vostok, d’autres que je venais d’acheter Mystery et Southern Empire et enfin le Plini que j’avais plus ou moins promis de chroniquer rapidement (mon seul devoir de vacances). Nous sommes repartis pour deux mois de publications, de notes de blog (j’ai eu du temps pour écrire des tonnes de choses stupides) et de travail sous de très grosses chaleurs, ça ne va pas être du gâteau.
Qui avait-il dans mon iPhone pendant les vacances ? Rien. En réalité, je n’écoutais de musique que sur ma chaîne et pour le numérique, du PC à l’ampli via mon DAC, le luxe suprême.