Je pensais acheter le vinyle de Solstafir lors de leur tournée, mais voila, petit corps malade en avait décidé autrement, du coup pas de vinyle. Alors je suis allé en ville, à la Fnac, acheter l’album, oui je sais la Fnac c’est mal, d’autant qu’ils n’avaient pas l’édition vinyle les rigolos, juste le CD avec la box ou pas. Bon j’ai pris la box, achat débile vu son contenu, mais collection oblige, je me retrouve avec des bouchons d’oreilles Sosltafir, un pins géant assez moche et un bout de tissu inutile dans un boite où flotte le boitier du CD. Le bon côté c’est que le CD est toujours aussi bon.
Après la Fnac, passage obligé chez mon dealer de seconde main. Le vendeur était très inquiet, il ne m’avait pas vu depuis le concert de Esben & The Witch (note perso, aller moins souvent en ville). Dans la boutique, au rayon néo-prog Bigelf, oui je sais, pas grand chose à voir avec le néo-prog mais même si Into The Maelstrom n’en est pas, c’est un sacré album que je n’avais qu’en numérique. Il y avait un Gary Moore en vinyle, Still Got The Blues, qui me narguait également, mais celui-là je l’ai en CD, alors je me suis abstenu pour une fois. Ce qui m’a fait beaucoup de peine, c’est de revoir le pauvre Lost In The New Real de Arjen Lucassen abandonné dans le bac depuis plusieurs semaines (je l’ai déjà). Grace a un effort surhumain (quelle force de caractère, je m’étonne parfois), je ne l’ai pas acheté, nous accueillons suffisamment d’animaux perdus à la maison comme ça. Réécouter Solstafir et Bigelf a occupé une belle partie de ma soirée, avant de regarder le premier épisode de la première saison de Fargo dont j’avais lu beaucoup de bien et qui ne m’a pas déçu. Vivement ce soir que l’on découvre l’épisode deux.